Porte fermée, oh, fermée, je n’ai de l’être / Vu que les remous profonds, ne suis plus / Ni dedans, ni dehors, et ils m’ont échappé, / Laissant au creux des mains je ne sais quoi,
L’attente, non, l’illusion du possible, non, / La joie de l’inconnu et le puits de tes yeux. / Il reste la musique, elle se moque du refus, / De l’abîme, des falaises de craie, du soleil.

Photos : Paravent à six volets, Kano Sansetsu, Huit vues de la Xiao t de lz Xiang, début époque d’Edo, première moitié du XVIIe s., musée Guimet, 07/04/17, 12:11 ; musique, 27/10/16, 19:33 ; Tête féminine, musée Guimet, 07/04/17, 11:42 ; texte (extrait de « Il reste le ciel », La Boussole des rêves, éd. Le chat polaire, 2020) ©JJM