Voir, et ramer.

Voir, et ramer. La période s’y prête, me dis-je. Dans le courant, parfois contre, à chacun son sillage, éphémère. Le fleuve s’émeut à peine, lutter, laisser traîner une main dans l’eau, soleil à l’océan, s’éloigner.

Garonne Aviron, 20/01/16, 18:12 ©JJM

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s