Voir, son double, en un reflet, tandis que la pluie lave et lave encore ce que l’histoire draine de boue, de ruines, de joies aussi, douce lumière qui traverse, malgré les drames, le magnifique texte d’Alain-Fournier…
« À quatre heures, dans la grande cour glacée, ravinée par la pluie, je me trouvai seul avec Meaulnes. Tous deux, sans rien dire, nous regardions le bourg luisant que séchait la bourrasque. » Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes.
Autoportrait au double, ou Tableautin de pluie, Éclairage au sol devant la cathédrale Saint-Étienne, Toulouse, 16/03/16, 17h07 ©JJM