La douceur des corps

Banquise nue, soleil gelé. Espoir d’une fleur,
D’une libellule. Volonté vide, sans lumière.
Sans la sève des arbres, ni l’éclat de nos yeux,
Ni la douceur des corps. Abandonnée des dieux.

17 02 18

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s