J’ouvre la fenêtre, il fait si chaud. Je rembobine ma
vie, oh, imprégné de la douceur de tes bras de sable.
Je m’éloigne, inexorablement. Habillé d’un pagne
blanc, paysage africain. Larmes de nuages rouges,
grands acacias, baobabs, huttes de palmes tressées.
Oui, dans le grenier de mes tremblements enfantins.
19 07 17
Nuit, 25 05 16, 4h31. ©JJM