Embrasser la terre

Magie de l’eau, folie des hommes, la beauté
peine à se frayer un chemin entre les ruines.

Soleil indifférent, la sève rejoint le profond,
se nourrit des pluies à venir, et le printemps

sera rouge, rouge sang, le rouge de la vie.
L’amour se noie, les enfants jouent, les armes

claquent, et, tu sais, l’océan boit le fleuve.
Marcher sur l’herbe, oh, embrasser la terre.

14 12 16

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s